Il s'est passé plein de choses ces dernières semaines dans ma vie sexuelle, et comme j'étais en vacances sans mon PC je n'ai pas pu alimenter mon blog au fur et à mesure.

En résumé :

- je suis allé encore 2 fois au Vox en fille (à chaque fois je me suis bien faite baiser)

- mais surtout j'ai rencontré un maître qui veut sérieusement me prendre en main, et cela a déjà commencé fort d'ailleurs. Il m'impose des restrictions sur la jouissance du clito : au début une fois par jour, et maintenant une fois tous les 2 jours ... ce soir d'ailleurs je trouve que c'est particulièrement dur de ne pas me branler jusqu'à éjac, et du coup j'écris pour passer le temps.

Autre truc vraiment spécial mais qui me fait mouiller grave : il ne veut plus que je baise gratuitement, et me demande de faire cela pour un tarif certes faible, mais assez dissuasif pour les traîneux sans le sou du Vox ... et oh satisfaction : j'ai quand même réussi à gagner 15 Euros la dernière fois, en expliquant que j'y étais obligé par ce maître.

Je passe sur les détails, pour en venir au dernier fait : disposant de 3h d'attente à la gare de Toulon ce dimanche, je suis allé au sex hop de la gare, que j'avais repéré à l'avance, en garçon car je n'avais pas les moyens de me transformer facilement. C'est en fait une sorte de ciné X avec 2 petites salles et des cabines. Accueil très sympa du proprio, qui me propose de suite de garder mes bagages en plus.

A l'intérieur très très peu de monde ... je vois juste un gros mec déjà âgé en train de se branler dans une cabine, et il ne m'inspire pas d'attirance particulière.

Je retourne donc dans la salle "hétéro", et là au bout d'un moment, le gros mec se pointe, la bite en attente de suce. Ordinairement je ne me serais pas faite prier. Mais il fallait que j'annonce la couleur : pas le droit gratuitement ! Evidemment il n'a rien voulu entendre et a commencé par m'embrasser ... très très bien, mettant sa langue loin dans ma bouche. Il était très propre, bonne haleine, sentais bon, et était déterminé à me baiser manifestement. Une réticence encore : il avait une grosseur au bout du prépuce ... je lui demande ce que c'est il me répond tranquilement avec un super accent du Sud "t'inn-quiètes pas c'est de naissann-ce".

"Donnes moi ce que tu as " lui ai je dit ... mais il n'a toujours rien voulu entendre et moi, les couilles pleines après 2 jours d'abstinence, je n'ai pas résisté à son approche et lui ai tout simplement tendu mon cul cambré.

En plus je ne pouvais pas faire la difficile il n'y avait quasiment personne, un très vieux qui se contentait de mater et un autre seul affalé dans une autre salle.

Je dois dire qu'il m'a vraiment TRES bien baisée, c'est rare quand je ressens cela : pas trop vite, attentif à mes réactions, profond quand même.. ça a duré longtemps et c'était vraiment bien, je me sentais entièrement en sa possession, la propriété de son sexe et de toute sa virilité mature. Je gémissais, lui disais que j'étai une salope et il me répondais que j'étais une bonne chienne, oui, mais sans jamais être agressif avec moi.

Je lui ai expliqué que je n'avais pas le droit de jouir, mais il s'en moquait manifestement, ne me prenant pas au sérieux et ayant envie que je mouille du clito. Je me suis quand même retenue jusqu'au bout, alors qu'il m'a prise une fois en levrettte et une deuxième fois en face à face cul relevé. Je ne savais même plus ou j'en étais car comme je n'avais pas joui la veille, j'aurais pu jouir de sa bite à ce moment là, rien ne me l'interdisais, mais j'avais oublié le décompte des jours "avec" et "sans".

Au bout d'au moins 3/4 d'heure ou une heure qu'il me besognait, il a quand même craqué pour se reposer un peu ... ce que je comprenais bien vu son âge ! Il m'a laissée la chatte bien ouverte, exactement comme sur la photo ci-dessous, toujours de moi en garçon.

Je suis rentrée à Grenoble en covoiturage ... bien fatiguée quand même :-)

A une prochaine les amis ! Je ne manquerai surement pas de vous raconter comment mon maître m'aura puni de lui avoir désobéi !